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Son petit pantin
Est déguisé en souverain
Cherchez-le, coucou, coucou
Il est caché dans un trou
Trouvez-le coucou, coucou
Rulrik est caché dessous

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Il est en papier
Il se moque d'être tué
Cherchez-le coucou, coucou
En massif se trouve son trou
Grillez-le coucou, coucou
Golrik se cache dans l'même trou

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Frisant ses moustaches
Et voici le pantin patch
Cherchez-le coucou, coucou
Le rat est caché dessous
Butez-le coucou-coucou
Et viknar l'aura dans l'chou

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Les échos des pantins d'Yrédia

Les Echos d'Yrédia ont fusionné avec l'écho du pantin pour donner naissance aux Echos des pantins d'Yrédia.


Bonne nouvelle ! Tous les pantins sont rentrés au bercail pour reprendre leur ronde se faire graisser les charnières astiquer la hallebarde.
Youpi !
Seule ombre au tableau, Timmamachin attend en Gallica son dépanneur...

Les soliloques crétins du nombril illusionniste vont hélas reprendre se lamentent les espions.

Voilà donc Batikoma, le pieux… qui trucide ses propres pantins.

AH, L’IDIOT ! Même ses hommes ne sont plus en sécurité près de lui.
Si ça continue, il régnera bientôt seul… faute de troupes encore vivantes. »

Les mauvaises langues ajoutent même que le vent au sommet du Kolrynth porte encore l’écho d’un rire amer :

« Méfiez-vous du Roi de Solitor… il tue même ceux qui le servent.

Sire Batikoma le pieux,Roi de Solitor aurait enlevé la vie de Sire Marindesavamah Mercenaire en pic de Kolrynth(170) en Dorasterre.

La grande rumeur du Gouffre de Bilskirnir

(résumé global)

Depuis plusieurs nuits, au pied du vieux château de Bilskirnir, les hommes de l’ancien roi Boniface ne creusent plus : ils ouvrent quelque chose. Une faille immense, capable d’engloutir un chariot, s’est formée à flanc de colline, et chaque coup porté dans la roche résonne comme un tambour funèbre.

Très vite, les rumeurs ont enflé :
un souffle glacé, des chuchotements dans le vent, des silhouettes revenues du chantier alors qu’elles n’y étaient jamais descendues… Les anciens du Varalind disent que Boniface cherche un lieu qui devait rester fermé, peut-être le tombeau effacé de Trémère.

Puis les choses ont empiré.
On a vu Boniface invoquer des forces inconnues, les bras levés au-dessus du gouffre, tandis qu’un souffle noir étouffait les torches. On raconte même que le Roi Xira serait venu en secret observer l’ouverture, et que le vent lui-même se serait figé autour de lui. Il aurait murmuré que “ce gouffre n’est pas un creux, mais une ouverture”.

Lorsque la Mère supérieure Amicie s’est rendue sur place, les villageois assurent qu’elle a trouvé Boniface métamorphosé : le corps brisé, parcouru de veines sombres, les yeux remplacés par deux braises. On dit que Xira parlait alors avec une voix qui n’était pas la sienne, dans une langue que personne ne connaît.

Des flammes noires et rouges auraient jailli du gouffre sans chaleur, mais avec un souffle de bête vivante.
L’ombre de Boniface se serait dédoublée, avançant à la fois vers Amicie et vers le Roi.

Certains affirment qu’Amicie l’a affronté — homme ou démon, nul ne sait — et qu’un cri a retenti jusque dans la vallée. Depuis, les torches refusent de brûler, l’air sent le froid de l’autre monde, et la faille s’agrandit chaque nuit… comme si elle respirait.

Aujourd’hui, personne ne sait si Boniface est mort, possédé ou simplement avalé. Ce que tout le Varalind répète, en baissant la voix, c’est ceci :

Quelque chose a été réveillé sous Bilskirnir… et maintenant, ce quelque chose bouge dans le gouffre.