LES RUMEURS

On raconte que les perdants n'ont pas leur mot à dire. Les seigneurs neutres peuvent éventuellement faire valoir leur revendications aux seigneurs de l'Est, les gagnants.

Les terres anciennement possédées par le cardinal ont été libérées par l'Est suite à une longue guerre et de nombreux efforts.

Leur lecture est clairvoyante.
Patch à décidé que Dorasterre revenait à l'église, malgré Xira et Batikoma.
Il a trouvé sa victime car il réclame Caledra pour "reparation" (?!!!)

Réparation de quoi ?

Des devins auraient prédit la destinée du roi fantoche.
Bientôt Golrik sera de bon aloi et le roi de paille lui cédera toutes ses terre...
Afin de permettre à Golrik de récupérer sa couronne, le faux roi, fort de la ferveur de ses troupes partira en guerre pour assouvir les aigreurs de son maître planqué dans ses massifs, il tuera peut-être un ennemi, mais il périra à coup sûr et sa descendance reprendra sa place de pantin.

Bon, le créateur a quand même bien pompé sur Siège et surtout Cry Havoc.
Il reste tout de même le createur de ce foutoir !

Vadenorn le Juste, Duc de Solitor est le filleul de Sénalenatorn le Pieux, Cardinal de Solitor.
La question de Caledra est ainsi réglée (de part la seule ingéniosité incontestable du seul et unique Createur R.).

Que Batikoma qui convoite le Sud voit avec Amicie, désormais seule représentante de notre Sainte Mère, en ce qui concerne les terres de Dorasterre, Abeda, Al Razzim, et Ambassades qui ne sont plus.
Le Duc de Solitor entend tenir son rang en l'état actuel de la Souveraineté et de la Paix qui y est acquise depuis nombre de saisons Kaldienne.

Qu'Haltogar garde ses menaces et suggère à Golrik de le rejoindre.
Que ce dernier sache qu'il a sauf conduit en Caledra, mais que ses massifs sont interdits à quiconque pour ce qu'elles sont les réserves de chasse de la population.

Une page est tournée, d'autres aiguisés appétits sont désormais à l'œuvre.
Vadenorn n'est pas Sénalenatorn, comme Golrik n'est pas Rulrik.

Ainsi soit-il !

Il se murmure, dans les ruelles comme dans les hautes cours, qu’un certain seigneur aux ambitions anciennes aurait récemment fait porter des messages dans tout Kald. Leur contenu, diffusé avec prudence mais constance, semble rappeler à tous les fondements du conflit actuel.

D’aucuns parlent d’une opposition entre deux visions irréconciliables : celle d’un monde tourné vers le partage, la justice et l’équilibre, et celle d’un royaume où la force brute, les manipulations et d’autres pratiques plus obscures seraient devenues des outils quotidiens.

Il est également question, dans ces missives relayées discrètement, d’une époque révolue où les terres furent rendues à la liberté par un ancien Roi, en vue de bâtir un avenir équitable. Mais ce dessein aurait, selon les propos colportés, été dévoyé par une figure bien connue, que certains disent habile à brouiller les pistes et à user de moyens peu reluisants pour faire plier les volontés.

Des langues bien pendues avancent que le seigneur en question ne chercherait ni compromis, ni neutralité, tant que certains comportements resteraient sans réponse. Il appellerait à une mobilisation ferme, bien que coûteuse, pour restaurer une forme de droiture.

On raconte aussi qu’il ne ferait guère de distinction entre ceux qui agissent et ceux qui soutiennent, même en silence.

Reste à savoir qui, dans cette époque troublée, choisira de se lever… et à quel prix.

Il se dit qu'il n'est pas besoin de grand chose pour faire reluire les fats. Il suffit de parler d'eux, en bien ou en mal...
Apprendre qu'ils sont l'objet des bavardages suffit à les gonfler d'orgueil, ils rougissent, ils font des mines, se pavanent et s'esbaudissent...

On raconte qu'à part les rumeurs du cloître, l'entièreté des rumeurs parlent de la famille de Rulrik. En bien ou en mal, ce seigneur aura décidément beaucoup fait parlé de lui comme peu d'homme par le passé.

Il se dit que Rulrik a attendu l'âge de 85 ans, sachant sa fin prochaine, pour trouver le courage d'aller affronter ses ennemis. Il rêvait de faire coup double et s'est fort heureusement planté, évitant aux seigneurs de Kald d'ouïr à l'infini les rodomontades du nombril vaniteux.
Les chats ne faisant pas des chiens sa descendance va errer de massif en massif durant les 70 prochaines années avant d'affronter le danger.

On raconte que le roi Rulrik aurait péri en Tchalan, l'épée à la main, contre les armées du général mercenaire Tolkia et le Cardinal Sénalenatorn.(traduisez : se voyant perdu après avoir occis le cardinal, il se serait piteusement donné la mort plutôt qu'affronter son destin).

Il s'agit de la fin d'un règne de 34 années. Il restera un [rat] controversé mais qui sans conteste aura apporté beaucoup (de pantins et d'épouvantails) à Kald. De nombreuses versions de la même histoire circulent, mais voici le récit partagé à l'est [corrigé par des observateurs] :

Rulrik était le fils du défunt Golrik (V)III , roi de Kald qui fut tué par surprise par le roi Bofanice alors qu'il rentrait d'une longue campagne contre Gilgamesh. En effet, Baldek, alors peu présent, avait demandé l'aide de son ancien suzerain parce que Gilgamesh avait décidé de l'attaquer et de voler son trésor. (selon la version officielle Golrik promit de le venger à la condition que Baldek devienne son vassal.... et Baldek accepta ) Golrik entreprit une marche en Adeba afin de châtier ce roi et de récupérer le trésor volé, tout en lui laissant la vie sauve. (traduisez : plutôt qu'offrir une fin honorable au vieux roi Gilgamesh qui lui avait cédé des terres dans le passé, Golrik préféra l'humiliation , il le vola par 3 fois, le laissa en vie, mis sa tête à prix et l'insulta...) Il se dit que Golrik possédait environ mille provinces et Bofanice plus de mille cinq cents (la version officielle est qu'en récupérant les terres de Baldek Golrik était devenu avec presque 1200 provinces le plus grand propriétaire de Kald, mais les vaniteux ne peuvent être battus que par plus puissant qu'eux).
Dès son couronnement, Rulrik jura de venger son père de la traîtrise de Bofanice.

Rulrik et son fidèle vassal (pantin) Baldek entreprirent de redresser un royaume fragile dont le coeur se situait en Mitsokai. Cependant, Gilgamesh, qui fut épargné (humilié) par Golrik (V)III, avait décidé de dédier sa vie à traquer la famille de Baldek (la marionnette) . Il réussit à tuer Baldek, mais Rulrik put tuer Gilgamesh. De son côté, Bofanice avait décidé de laisser le jeune roi en paix jusqu'à ce qu'il en ait assez de ses insultes répétées (enfin quelque chose de vrai). Il décida alors de l'attaquer et de lui voler son trésor (de le fesser pour lui apprendre la politesse en respectant sa promesse de la laisser vivre. C'est ainsi que Bofanice recruta une puissante armée et traqua Rulrik qui comme à l'accoutumée se terrait en massif. Bofanice pénétra en Mitsokaï et se dissimula dans les massifs du Sud. La nuit venue alors que Kald était endormi seuls deux Seigneurs étaient éveillés, le gibier et le chasseur. Rulrik envoya Kraz son nouveau pantin prospecter les massifs...
Le voyant s'approcher, Bofanice remonta promptement vers le nord-est en restant hors de porté des éclaireurs de Kraz. Il découvrit enfin l'armée de Rulrik dans les massifs du nord-est. Celui-ci trop occupé à manier sa marionnette ne le vit pas arriver. Bofanice mit tranquillement sa troupe en ordre de bataille, il lança une première attaque mais Rulrik enfin alarmé couru se réfugier dans le fort le plus proche où il fut défait et châtié. Tandis que Rulrik affolé, craignant pour sa vie courrait en zig-zag à travers Mitsokaï, Bofanice sa besogne accomplie retourna sur ses terres de Sartar et fit halte derrière la passe. Peu de temps après, le fidèle Kraz absent durant les,épisodes précédents vint s'empaler sur l'armée de Bofanice, seul le pantin et quelques paysans éclopés survécurent à cette bataille inutile.
Bofanice intercepta un message de Rulrik qui informait son pantin qu'une attaque à travers une passe était périlleuse. Message étrange quand on sait que Baldek était justement positionné sur une passe pour attendre Gilgamesh qui emporta la bataille mais au prix d'importantes pertes. )

Rulrik attendit patiemment la mort de Bofanice, très âgé, et profita de ce temps pour réclamer les terres d'Yredia, (une partie) de Dramen et (aucune) partie de Gallica (qui était à Alcabanisse et à Bofanice).
Une fois Bofanice mort, Rulrik entreprit de (se venger et assassinat immédiatement le général Barka qu'il savait ami de Bofanice et qui avant sa mort lui avait transmis de nombreuses ressources et une partie de son trésor). Comme à l'accoutumée, à l'instar des coucous il s'en alla faire son nid sur les terres que d'autres avaient remises en état. il récupéra les terres de feu Dame Alcabanisse en Gallica et de Bofanice en Dramen et en Gallica. Se sentant assez fort, Piast héritier de Bofanice s'étant installé en Ostrie, il prit prétexte du séjour du descendant de Gilgamesh en Ostrie pour envoyer son vassal, voler les terres de Piast en Sartar, propriété (il)légitime de son vassal Kraz , fils de Baldek (qui n'a jamais possédé de terres en Sartar). Piast refusa de céder ce royaume malgré son infériorité stratégique. Après de multiples combats, le pays fut récupéré.

Piast s'allia alors à Gilgamesh et à Tolkia, alors roi des îles, pour anéantir le royaume de Rulrik. (gros mensonge) Ce dernier réussit à rallier le plus grand général mercenaire Hortagos à sa cause, rééquilibrant ainsi la balance des forces. À cette époque, les vassaux de Rulrik étaient peu présents et il était presque seul à gérer son royaume (trait d'humour et de fatuité).
Le reste est à l'avenant... Le grand Rulrik triomphe de tous les obstacles, punit les méchants et meurt en laissant son royaume à un pantin. Son fils Golrik XXIII devient la marionnette du pantin.